« Je n’aurai pas le temps! » « Je n’aurai pas le temps! » Voilà le titre de l’autobiographie de Hubert Reeves que j’ai eu le bonheur de savourer la semaine dernière, les pieds dans la mer des Caraïbes. Je ne profiterai pas de cette tribune pour vous dire à quel point il est agréable de se retrouver au bord de la mer à 30 degrés au dessus de zéro, particulièrement lorsque le Canadien connaît une série de défaites. Je ne vous parlerai pas non plus de la fascinante carrière de Monsieur Reeves, bien que j’en aurais long à dire à ce sujet également. J’ai plutôt l’intention de partager le constat que je fais de mes vacances : le temps me stresse! Je veux réduire significativement l’usage de l’expression « Je n’aurai pas le temps » cette année. Point de départ : Optimisation de mon système de gestion de temps. Depuis quelques mois, le temps s’écoule plus vite autour de moi. Entre le travail, les amis, la famille, le sport et ma copine, l’ennui n’a pas le temps de s’installer. Bien souvent, je me retrouve à devoir prioriser certaines activités, sans avoir le temps d’évaluer judicieusement mon choix. Un ami qui a vécu cet enjeu dernièrement m’a proposé d’enrichir ma réflexion avec le livre « Getting things done» de David Allen. Vous connaissez? C’est mon point de départ. Je vous en fais mon évaluation dans quelques jours, dès que j’aurai eu le temps de le finir… Entre-temps, avez-vous d’autres suggestions à me faire? Avez-vous vécu des expériences qui vous ont permis de réussir à jongler efficacement avec le temps? J’attends maintenant vos commentaires. Crédit photo : annca via Pixabay.