Stage en milieu de travail La fin du mois d’avril est synonyme pour l’ensemble d’entre nous, experts en crédits d’impôt à la RS&DE, de la date d’échéance pour produire une déclaration d’impôt. Par contre, pour d’autres, elle représente la fin d’une aventure sur le marché du travail. Je parle, ici, des étudiants et étudiantes qui se voient, chaque année, offrir la chance de vivre une expérience et de mettre leurs nouvelles connaissances en application dans des situations réelles. DGC n’aide pas uniquement les entreprises dans le secteur des technologies de l’information (TI) à obtenir des crédits d’impôt tel que RS&DE ou CDAE. L’entreprise aide aussi des stagiaires en soif de savoir et d’expérience en leur proposant un stage en rédaction technique. DGC bénéficie ainsi du Crédit d’impôt remboursable pour stage en milieu de travail. Ce crédit de Revenu Québec constitue actuellement la seule mesure fiscale en ce qui a trait à la formation de la main-d’œuvre. Elle permet à une entreprise désirant offrir un stage de plus de 140 heures à une personne étudiant à temps plein dans un programme d’enseignement collégial, universitaire de premier cycle ou de cycles supérieurs. Le taux du crédit d’impôt qui peut être obtenu varie entre 30 % lorsque l’employeur admissible est une société et de 15 % dans les autres cas. En plus des coûts directs de la formation, les dépenses admissibles comprennent les frais reliés au salaire, au congé de formation, au déplacement, à l’hébergement, à l’acquisition d’équipement et à la construction ou à l’aménagement de locaux. Ces dépenses peuvent être reportées d’une année à l’autre. Il s’avère, toutefois, important de mentionner que cette aide gouvernementale doit être déduite du montant de la dépense admissible au crédit d’impôt pour la RS&DE. L’initiative de prendre un stagiaire en rédaction technique chez d’Astous Groupe Conseil a pris son origine à l’été 2009. Cette décision adhérait parfaitement à la structure organisationnelle de l’entreprise composée de rédacteurs et de conseillers scientifiques. Cette structure détenait l’avantage de pouvoir embaucher des étudiants ou étudiantes ayant un profil en rédaction, mais n’ayant pas nécessairement des connaissances approfondies en TI. Après une première itération concluante, DGC a décidé de poursuivre son association avec l’Université de Sherbrooke et de prendre un stagiaire de plus la session suivante. Depuis, sept autres stagiaires ont eu l’occasion de vivre l’expérience DGC et de faire partie de sa dynamique équipe. Avec la fin du mois d’avril, notre ami Jonathan quittera DGC pour retrouver les bancs de l’université. Même si ce départ nous attriste, nous nous consolons par le fait qu’il reviendra peut-être cet automne pour un second stage. Et qui sait, peut-être aura-t-il pris goût à la vie chez DGC, à un tel point où il voudra revenir pour une carrière à temps plein, comme cela a été mon cas.