Les institutions financières proposent des produits standards (prêts) qui peuvent être supportés par les crédits d’impôt remboursables. Dans la plupart des cas, ces institutions requièrent une garantie de prêt provenant d’Investissement Québec. La somme d’un de ces prêts est rarement moins que 80 000 $.

Le marché des TI au Québec est de 34 milliards. Là-dessus, les entreprises se décrivant comme des développeurs de logiciels seulement sont au nombre de 6884 et emploient 66 000 personnes à temps plein. On parle donc d’une moyenne de moins de 10 employés par entreprise.

Une analyse sommaire nous permet de conclure qu’une entreprise québécoise en démarrage dans le domaine du développement de logiciels aura peu d’employés et donc peu de dépenses dans les deux premières années de son existence. Elle ne pourra justifier des dépenses admissibles se soldant par un crédit remboursable de plus de 80 000 $.

Ceci ne veut cependant pas dire qu’une telle entreprise ne pourrait pas bénéficier des effets « accélérateurs » du financement intérimaire de crédits d’impôt parce que leurs crédits remboursables sont trop faibles pour que les institutions financières et Investissement Québec souhaitent les financer.

Il existe donc un « vide » qui ne permet pas à des entreprises en démarrage de se financer avec les produits accessibles aux plus grandes entreprises. Ce « vide » doit être rempli par des produits financiers prenant en compte la réalité d’une entreprise en démarrage en technologie de l’information.

Pour plus de détails sur le financement intérimaire de crédit d’impôt, veuillez contacter notre expert en subvention : ybesner@dgctech.ca

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